Crise sanitaire oblige, le Mont-Valérien a dû repenser son traditionnel cycle de conférences. C'est donc une conférence en ligne sur le thème " De quelles mémoires le Mont-Valérien est-il le lieu ? ", donnée par Fabien Théofilakis mercredi 2 décembre à 18h30.
Lieu d’hommages mais aussi de conflits mémoriels et politiques, le Mont-Valérien est aujourd’hui un espace de transmission des mémoires et de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Dès l’après-guerre, il évolue au gré des appropriations de multiples acteurs pour répondre à des contextes, des besoins et des volontés complexes. Non consensuels, ces différents usages ont créé des tensions, des conflits. Finement étudiées, les traces de ces récits restent identifiables aujourd’hui.
Cette visioconférence est proposée dans le cadre de l'exposition temporaire " [Dé]construire les mémoires. Récits, pratiques et acteurs au Mont-Valérien, de la Seconde Guerre mondiale à nos jours".
Historien français spécialiste de la captivité de guerre et des rapports franco-allemands au XXe siècle, Fabien Théofilakis est maître de conférences à l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne et membre du Centre d’histoire sociale des mondes contemporains.
Le mercredi 3 avril a eu lieu la remise du 30ème prix de la mémoire et du civisme, organisé par la Fédération Nationale André Maginot, et présidée par le général Peter, à l’Assemblée nationale, au sein de l’Hôtel de Lassay.
L'ONaCVG et l'Éducation nationale ont organisé pour la première fois, le 20 mars, au lycée Camille-Saint-Saëns de Rouen, un colloque dédié à l'enseignement des OPEX dans le secondaire.
Le lundi 18 mars, la maison Athos Cœur de Savoie, située à Coise-Saint-Jean-Pied-Gauthier, a été inaugurée par Patricia Mirallès, secrétaire d'État auprès du ministre des Armées, chargée des anciens combattants et de la mémoire.