Les commerçants de Longvic mobilisés pour le Bleuet de France !
À l'initiative de madame Fabienne Vion, conseillère municipale déléguée aux anciens combattants et au protocole, une collecte du Bleuet de France se déroule du 03 au 15 mai chez les commerçants participants.
Privée de collecte publique depuis le début de la crise sanitaire, la ville de Longvic située à proximité de Dijon, connue pour avoir hébergé durant de nombreuses années l'ancienne base aérienne 102 remplacée aujourd'hui par l'école de gendarmerie de Dijon, a pris l'initiative de mobiliser ses commerçants au profit de l'Œuvre nationale du Bleuet de France.
Elle leur a ainsi distribué des tirelires et des affiches aux couleurs du Bleuet. Outre l'appel à la générosité publique, cette opération permet d'échanger autour de l'histoire et des missions de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONACVG) et du Bleuet de France en sensibilisant le grand public et les plus jeunes sur la dimension très moderne et actuelle des accompagnements du Bleuet de France.
En effet, outre les anciens combattants et veuves de la seconde et troisième génération du feu, les nouveaux bénéficiaires de cet accompagnement sont aujourd'hui également les jeunes combattants qui rentrent d'OPEX, les militaires blessés, les familles endeuillées, les pupilles de la Nation, sans oublier les victimes d'actes terroristes.
Pour les remercier, Bruno Dupuis, le directeur départemental de l'ONACVG de la Côte d'Or, a été les visiter accompagné de madame Vion.
Le mercredi 3 avril a eu lieu la remise du 30ème prix de la mémoire et du civisme, organisé par la Fédération Nationale André Maginot, et présidée par le général Peter, à l’Assemblée nationale, au sein de l’Hôtel de Lassay.
L'ONaCVG et l'Éducation nationale ont organisé pour la première fois, le 20 mars, au lycée Camille-Saint-Saëns de Rouen, un colloque dédié à l'enseignement des OPEX dans le secondaire.
Le lundi 18 mars, la maison Athos Cœur de Savoie, située à Coise-Saint-Jean-Pied-Gauthier, a été inaugurée par Patricia Mirallès, secrétaire d'État auprès du ministre des Armées, chargée des anciens combattants et de la mémoire.